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promotion sortant en 1965 organise un Le réfectoire transformé en pont de bateau
voyage en Pologne.
La 18ème nuit de l’ERA a eu lieu mais ce fut
£™ÈÈ\ la 14ème Nuit de l’ERA au Palais des la dernière.
Vikings est animée par les orchestres de
Claude Luter et les Six de Paris. « Personnellement j’ai plus appris de choses
sur le montage de projets, la compréhension

˜£™ÈÈ\ la 15ème nuit de l’ERAY est animée des mécanismes bancaires, les « ouvertures
par les orchestres d’André Brasseur et les de crédits, le découverts, les contrats, la
Haricots Rouges, qui obtinrent un énorme RNCPKƂECVKQPNQTUFGNCRTÅRCTCVKQPFGNCPWKV
succès. de l’ERA Yvetot. Il est également vrai que la
prise de risque, était naturelle et que le sacro

˜ `jVi“LÀi £™ÈÇ] pour la 16ème nuit de saint principe de précaution ne faisait pas
l’ERA, la neige s’est invitée en limitant le régner sa terreur. Cette activité nous rendait
nombre de participants à cette soirée animée responsables de nos actes, et selon le mot
par l’orchestre d’André Brasseur et celui des de monsieur Delarue formait des hommes et
Strapontins pour le jazz. Le voyage de la non des sommes de connaissances » précise
promotion 65-68 est réduit à la découverte Gilles Delahaye (promo 64/68).
de Londres après un trajet en avion au départ
de Beauvais.


˜ £™Èn] les orchestres de Stéphane
Grappelli et les Safari animent le bal de
l’école.

L’épopée de la nuit de l’ERA en 1970 se
termine tragiquement : le 6 décembre 1969
à Bouville, quand en revenant d’avoir déposé
FGU CHƂEJGU GV FGU VTCEVU WPG XQKVWTG GUV
victime d’un accident qui coûte la vie à deux
des élèves (François Aubry et Jean-Marie
Gougeon).

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