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VOIX S’EST BRISÉE, PLEINE DE DOULEUR ET D’AMOUR : ET PUIS J’AI DIT CE QUE J’AVAIS BESOIN DE M’ENTENDRE
DIRE, PLUS QUE DE LUI FAIRE ENTENDRE À ELLE :
Ce
n’est la Maman, il y a
autre chose. Je suis
faute de tellement désolée
personne ! de ne pas être
restée avec toi, l’été
de ta mastectomie.

J’aurais aimé
avoir été une

meilleure
fille.

MERCI, MAMAN. J’AI AUSSI PRÉVENU L’ÉDITRICE QUI M’AVAIT
EMBAUCHÉE POUR ILLUSTRER MON PREMIER LIVRE
Je suis POUR ENFANTS.
désolée, ma chérie.
Crayons Déjà la moitié !
Je ne m’en
souviens pas.

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