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S J’AI BAISSÉ LES YEUX SUR LE PANSEMENT TOUT ET JE ME SUIS SENTIE TERRIBLEMENT SOULAGÉE.
PLAT QUI M’ENTOURAIT LA POITRINE.

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LES FLAQUES DE GRAISSE TOXIQUE AVAIENT DISPARU, FINI, LA CHAIR PENDOUILLANTE QUI M’EMMERDAIT
ET LEUR POISON NE MENAÇAIT PLUS MON ORGANISME. LA VIE, AVEC TOUJOURS UN TRAIN DE RETARD SUR
LES MOUVEMENTS DE MON CORPS.

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