Page 35 - Brochure
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êté de la préfecture de Seine-Inférieure. Défense passive contre les attaques aériennes,
diminution de la vulnérabilité dans les constructions neuves et les grosses transformations
d’immeubles.(Archives patrimoniales-Métropole Rouen Normandie, 8Fi1273).
Les attaques aériennes
L’attaque aérienne se révèle principalement par le bombardement. Le but pour
l’avion et son pilote est de lancer des projectiles sur l’objectif au moyen de
repères. Le jour il n’y aura pas de problèmes, la nuit la moindre lumière sera
précieuse. On note trois procédés d’attaque :
-en altitude la vitesse de chute de la bombe est indépendante de la vitesse de
l’avion et est proportionnelle à l’altitude à laquelle elle a été lâchée. L’angle
de l’arrivée au sol pourra varier de 70° à 90°,
-l’attaque en piqué consiste pour le pilote à faire voler son avion à une altitude
assez faible et à le faire piquer sur l’objectif suivant un angle qui peut aller
de 70° à 45°. La précision sera supérieure à celle d’un bombardement en
altitude. La bombe atteindra le sol avec un angle compris entre 45° et 60°,
-le troisième procédé consiste en un vol rasant, c’est-à-dire compris entre
10 mètres et 50 mètres. L’effet de surprise et la basse altitude de vol,
permettent à l’avion de se soustraire des tirs de canons et de mitrailleuses
en provenance du sol. L’angle de chute est faible, inférieur à 30°.
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diminution de la vulnérabilité dans les constructions neuves et les grosses transformations
d’immeubles.(Archives patrimoniales-Métropole Rouen Normandie, 8Fi1273).
Les attaques aériennes
L’attaque aérienne se révèle principalement par le bombardement. Le but pour
l’avion et son pilote est de lancer des projectiles sur l’objectif au moyen de
repères. Le jour il n’y aura pas de problèmes, la nuit la moindre lumière sera
précieuse. On note trois procédés d’attaque :
-en altitude la vitesse de chute de la bombe est indépendante de la vitesse de
l’avion et est proportionnelle à l’altitude à laquelle elle a été lâchée. L’angle
de l’arrivée au sol pourra varier de 70° à 90°,
-l’attaque en piqué consiste pour le pilote à faire voler son avion à une altitude
assez faible et à le faire piquer sur l’objectif suivant un angle qui peut aller
de 70° à 45°. La précision sera supérieure à celle d’un bombardement en
altitude. La bombe atteindra le sol avec un angle compris entre 45° et 60°,
-le troisième procédé consiste en un vol rasant, c’est-à-dire compris entre
10 mètres et 50 mètres. L’effet de surprise et la basse altitude de vol,
permettent à l’avion de se soustraire des tirs de canons et de mitrailleuses
en provenance du sol. L’angle de chute est faible, inférieur à 30°.
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