Page 37 - Chateaux
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Adolphe ARCHIER Adolphe ARCHIER, l’écrivain :
1815-1890 (suite et fin) Avocat de métier, Adolphe écrit également une
vingtaine de livres en rapport souvent avec la
Le couple réalise de nombreuses restaurations religion : Charité mène à Dieu (1843), Justice divine
et travaux d’agencement dans le parc. L’entrée (1846), La Maison des petites sœurs à Rouen
principale, qui se trouve face au château, est (1852), Les devoirs d’une femme…
reportée sur la droite (telle qu’elle existe
aujourd’hui). Les ARCHIER continuent
d’habiter à Rouen au 9, rue de l’Épée mais
résident très souvent à La Neuville Champ
d’Oisel.
Fort riche, Adolphe ARCHIER se montre très
généreux envers la paroisse dans les années
1880. Le 17 octobre 1882, il fait un don de
2 000 francs à la Fabrique de La Neuville. A
l’époque, ce legs est une somme énorme, il faut
savoir qu’un ouvrier gagne 3,50 francs pour
une journée de 12 heures de travail !
[coll. B. DANIEL]
Il décède le 9 octobre 1890 à Sotteville-lès-
Rouen. Son décès ne sera enregistré que le
25 août 1891 à Rouen. Dans la revue de La
Semaine Religieuse du diocèse de Rouen du
18 octobre 1890 (n° 42, page 1013), un
hommage lui est rendu.
Donation de Adolphe ARCHIER à la paroisse de
La Neuville Champ d’Oisel le 17 octobre 1882.
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1815-1890 (suite et fin) Avocat de métier, Adolphe écrit également une
vingtaine de livres en rapport souvent avec la
Le couple réalise de nombreuses restaurations religion : Charité mène à Dieu (1843), Justice divine
et travaux d’agencement dans le parc. L’entrée (1846), La Maison des petites sœurs à Rouen
principale, qui se trouve face au château, est (1852), Les devoirs d’une femme…
reportée sur la droite (telle qu’elle existe
aujourd’hui). Les ARCHIER continuent
d’habiter à Rouen au 9, rue de l’Épée mais
résident très souvent à La Neuville Champ
d’Oisel.
Fort riche, Adolphe ARCHIER se montre très
généreux envers la paroisse dans les années
1880. Le 17 octobre 1882, il fait un don de
2 000 francs à la Fabrique de La Neuville. A
l’époque, ce legs est une somme énorme, il faut
savoir qu’un ouvrier gagne 3,50 francs pour
une journée de 12 heures de travail !
[coll. B. DANIEL]
Il décède le 9 octobre 1890 à Sotteville-lès-
Rouen. Son décès ne sera enregistré que le
25 août 1891 à Rouen. Dans la revue de La
Semaine Religieuse du diocèse de Rouen du
18 octobre 1890 (n° 42, page 1013), un
hommage lui est rendu.
Donation de Adolphe ARCHIER à la paroisse de
La Neuville Champ d’Oisel le 17 octobre 1882.
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