Page 103 - Cloches
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ches disparues
« J’ai été faite des débris des anciennes cloches de cette église, qui furent
fondues dans l’incendie arrivé par le tonnerre en juillet 1786, et j’ai été
bénite et nommée Louise par M. Louis Letellier, curé de cette paroisse, et
par Béatrix Legouey, femme de M. Thomas Levasseur, syndic, en juin
1789. Dubois et Charton, fondeurs. »
On s'adressa à la grande fonderie de l'époque, les sieurs Dubois et
Charton, maîtres fondeurs de Lorraine. Il est très probable que le travail
s'exécuta à Gommerville, car quelques temps après, trois cloches furent
fondues pour Epouville et la fonte eut lieu à Gommerville. [« Histoire de
Saint-Gilles-de-la-Neuville » par M. Gérard Morisse ; 1980].
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« J’ai été faite des débris des anciennes cloches de cette église, qui furent
fondues dans l’incendie arrivé par le tonnerre en juillet 1786, et j’ai été
bénite et nommée Louise par M. Louis Letellier, curé de cette paroisse, et
par Béatrix Legouey, femme de M. Thomas Levasseur, syndic, en juin
1789. Dubois et Charton, fondeurs. »
On s'adressa à la grande fonderie de l'époque, les sieurs Dubois et
Charton, maîtres fondeurs de Lorraine. Il est très probable que le travail
s'exécuta à Gommerville, car quelques temps après, trois cloches furent
fondues pour Epouville et la fonte eut lieu à Gommerville. [« Histoire de
Saint-Gilles-de-la-Neuville » par M. Gérard Morisse ; 1980].
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