Page 158 - Brochure
P. 158
e supplément sera alloué uniquement par jour de bombardement et fixé
comme suit :
Pain : 200 grammes.
Viande : 90 grammes.
Matières grasses : 15 grammes.
Les directeurs de la Défense passive de la Manche et de la Seine-Inférieure
recevront du directeur départemental du ravitaillement général, les bons qui
correspondent à leurs effectifs. Les justificatifs de la date du bombardement et de
sa durée, l’effectif des équipes qui ont participé aux opérations de sauvetage seront
obligatoirement validés par la signature du maire et du directeur départemental
de la Défense passive.
La Croix-Rouge
La Croix-Rouge doit être en mesure de remplir différentes activités d’ordre
sanitaire. Il s’agit du relèvement des blessés et des gazés et de leur traitement
dans les postes de secours. Cela concerne aussi le transport des blessés et la
mise à disposition de personnels sanitaires (infirmières, pharmaciens, médecins).
Les sociétés de la Croix-Rouge ont à se préoccuper de recruter un personnel
adapté, qu’elles trouveront :
Les libérateurs sont entrés dans la ville d’Elbeuf, accueillis par les habitants et un personnel de
la Défense passive au premier plan, son casque sur la tête. Le 25 août 1944, le char est un M4
Sherman Dozer américain ou (bulldozer). On aperçoit sur le côté gauche du char,
un des bras qui supporte la lame qui est utilisée pour pousser des matériaux.
(Collection privée, photo Jeanne Lebret).
156
comme suit :
Pain : 200 grammes.
Viande : 90 grammes.
Matières grasses : 15 grammes.
Les directeurs de la Défense passive de la Manche et de la Seine-Inférieure
recevront du directeur départemental du ravitaillement général, les bons qui
correspondent à leurs effectifs. Les justificatifs de la date du bombardement et de
sa durée, l’effectif des équipes qui ont participé aux opérations de sauvetage seront
obligatoirement validés par la signature du maire et du directeur départemental
de la Défense passive.
La Croix-Rouge
La Croix-Rouge doit être en mesure de remplir différentes activités d’ordre
sanitaire. Il s’agit du relèvement des blessés et des gazés et de leur traitement
dans les postes de secours. Cela concerne aussi le transport des blessés et la
mise à disposition de personnels sanitaires (infirmières, pharmaciens, médecins).
Les sociétés de la Croix-Rouge ont à se préoccuper de recruter un personnel
adapté, qu’elles trouveront :
Les libérateurs sont entrés dans la ville d’Elbeuf, accueillis par les habitants et un personnel de
la Défense passive au premier plan, son casque sur la tête. Le 25 août 1944, le char est un M4
Sherman Dozer américain ou (bulldozer). On aperçoit sur le côté gauche du char,
un des bras qui supporte la lame qui est utilisée pour pousser des matériaux.
(Collection privée, photo Jeanne Lebret).
156