Page 159 - Brochure
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armi les personnes qui ont suivi les cours de vulgarisation d’aide à la population.
- Parmi les scouts ayant reçu un diplôme de secourisme.
- En demandant aux municipalités de mettre à leur disposition des brancardiers.
Pour les abris et postes de secours, ces sociétés n’auront à fournir que le personnel
et du matériel chirurgical.
Les représentants des sociétés de la Croix-Rouge pourront demander aux
autorités municipales :
- De mettre à disposition des brancardiers et de leur fournir les appareils de
protection destinés au personnel actif (masques et vêtements).
- De leur fournir un local destiné à être utilisé comme poste de secours.
- De leur fournir un poste abri qui pourra être utilisé comme lieu pour l’information
du personnel des gaz.
Le rôle de la Croix-Rouge se limitera à donner des soins aux blessés et aux gazés
et de renoncer à s’occuper de la population valide.
Pour la formation des équipes Z, on choisira des infirmières âgées de 25 à 50 ans,
de caractère ferme et décidé. Elles suivront des instructions complémentaires.
Elles essaieront les vêtements spéciaux, elles porteront la musette des premiers
secours et s’habitueront au port du masque qu’elles testeront pour travailler,
marcher, voire courir. Pour les infirmières non spécialisées des gaz, une initiation
aux soins sera indispensable afin qu’elles se rendent compte qu’un suffoqué ne
se soigne pas comme un ypérité. En cas de bombardement, elles auront sur elles
un aide-mémoire où est écrit ce qu’il faut faire ou ne pas faire.
Rue Petou (aujourd’hui rue des Arches), devant l’hôpital fin août 1944. On aperçoit quelques
personnels de la Défense passive coiffés de leur casque et à droite médecins ou infirmiers en
blouse blanche. Le drapeau américain déploie toutes ses étoiles, les sourires sont sur les visages,
ce qui nous fait penser que cette photo date de fin août 1944, lors de la libération.
L’ensemble des personnes semble attendre les libérateurs. (Collection privée).
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- Parmi les scouts ayant reçu un diplôme de secourisme.
- En demandant aux municipalités de mettre à leur disposition des brancardiers.
Pour les abris et postes de secours, ces sociétés n’auront à fournir que le personnel
et du matériel chirurgical.
Les représentants des sociétés de la Croix-Rouge pourront demander aux
autorités municipales :
- De mettre à disposition des brancardiers et de leur fournir les appareils de
protection destinés au personnel actif (masques et vêtements).
- De leur fournir un local destiné à être utilisé comme poste de secours.
- De leur fournir un poste abri qui pourra être utilisé comme lieu pour l’information
du personnel des gaz.
Le rôle de la Croix-Rouge se limitera à donner des soins aux blessés et aux gazés
et de renoncer à s’occuper de la population valide.
Pour la formation des équipes Z, on choisira des infirmières âgées de 25 à 50 ans,
de caractère ferme et décidé. Elles suivront des instructions complémentaires.
Elles essaieront les vêtements spéciaux, elles porteront la musette des premiers
secours et s’habitueront au port du masque qu’elles testeront pour travailler,
marcher, voire courir. Pour les infirmières non spécialisées des gaz, une initiation
aux soins sera indispensable afin qu’elles se rendent compte qu’un suffoqué ne
se soigne pas comme un ypérité. En cas de bombardement, elles auront sur elles
un aide-mémoire où est écrit ce qu’il faut faire ou ne pas faire.
Rue Petou (aujourd’hui rue des Arches), devant l’hôpital fin août 1944. On aperçoit quelques
personnels de la Défense passive coiffés de leur casque et à droite médecins ou infirmiers en
blouse blanche. Le drapeau américain déploie toutes ses étoiles, les sourires sont sur les visages,
ce qui nous fait penser que cette photo date de fin août 1944, lors de la libération.
L’ensemble des personnes semble attendre les libérateurs. (Collection privée).
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