Page 93 - Brochure
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conseil municipal décide que les employés et ouvriers municipaux qui
doivent être mobilisés les premiers jours de ce mois recevront leur traitement de
septembre intégralement.
Le 17 décembre 1939, le maire et le conseil municipal votent un crédit de
cinquante mille six cent soixante francs pour faire face aux dépenses de la
Défense passive. Ce crédit sera prélevé sur l’excédent de recettes des budgets
primitifs et additionnels de l’exercice 1939. Après accord du conseil municipal,
monsieur le maire est autorisé à passer un marché avec les établissements Welby
et fils, marchands de cuir et de caoutchouc 5 et 7 rue Jeanne-d’Arc à Rouen pour
la fourniture de matériels d’incendie.
Le maire informe l’assemblée du futur remboursement de cette somme par l’État.
Le maire Tony Larue indique que, d’après une circulaire les éventuels gazés et
blessés pourront être évacués vers l’hôpital de Petit-Quevilly désigné du secteur
d’assistance de Rouen.
En décembre 1939, la commune a crédité plus d’un million de francs à la Défense
passive dont le tiers sera alloué à la commune.
La séance du conseil municipal du 30 avril 1940 procède à la nomination d’une
commission de la Défense passive composée de dix personnes :
M.M Bouttard, Savieux, Costil, Mallet André, Colomines, Lefebvre, Daniel, Hatin,
Barbérot et Bonavent.
Un courrier du préfet en date du 8 janvier 1941 demande aux communes de
lui indiquer les effectifs actuels du personnel attaché aux différents services de
la Défense passive ainsi que la situation du matériel. La réponse du maire de la
commune de Grand-Quevilly sera la suivante :
Postes de guet locaux : 2. Service sanitaire
Sirènes d’alerte : 2. Inhalateurs : 2.
Hopitaux Z :
Caves-abris étayés : l’hôpital de Petit-Quevilly.
4 pour 300 personnes.
Service incendie
Abris talus : 11 pour 700 personnes.
Seaux-pompes : 35.
Abri poste de commandement : Camionnette : 1.
1 pour 150 personnes. Échelles : 10.
Motopompes de 30 m3 : 3.
Appareils Vermorel pulvérisateurs :
2 qui sont utilisés pour la dispersion
des gaz.
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doivent être mobilisés les premiers jours de ce mois recevront leur traitement de
septembre intégralement.
Le 17 décembre 1939, le maire et le conseil municipal votent un crédit de
cinquante mille six cent soixante francs pour faire face aux dépenses de la
Défense passive. Ce crédit sera prélevé sur l’excédent de recettes des budgets
primitifs et additionnels de l’exercice 1939. Après accord du conseil municipal,
monsieur le maire est autorisé à passer un marché avec les établissements Welby
et fils, marchands de cuir et de caoutchouc 5 et 7 rue Jeanne-d’Arc à Rouen pour
la fourniture de matériels d’incendie.
Le maire informe l’assemblée du futur remboursement de cette somme par l’État.
Le maire Tony Larue indique que, d’après une circulaire les éventuels gazés et
blessés pourront être évacués vers l’hôpital de Petit-Quevilly désigné du secteur
d’assistance de Rouen.
En décembre 1939, la commune a crédité plus d’un million de francs à la Défense
passive dont le tiers sera alloué à la commune.
La séance du conseil municipal du 30 avril 1940 procède à la nomination d’une
commission de la Défense passive composée de dix personnes :
M.M Bouttard, Savieux, Costil, Mallet André, Colomines, Lefebvre, Daniel, Hatin,
Barbérot et Bonavent.
Un courrier du préfet en date du 8 janvier 1941 demande aux communes de
lui indiquer les effectifs actuels du personnel attaché aux différents services de
la Défense passive ainsi que la situation du matériel. La réponse du maire de la
commune de Grand-Quevilly sera la suivante :
Postes de guet locaux : 2. Service sanitaire
Sirènes d’alerte : 2. Inhalateurs : 2.
Hopitaux Z :
Caves-abris étayés : l’hôpital de Petit-Quevilly.
4 pour 300 personnes.
Service incendie
Abris talus : 11 pour 700 personnes.
Seaux-pompes : 35.
Abri poste de commandement : Camionnette : 1.
1 pour 150 personnes. Échelles : 10.
Motopompes de 30 m3 : 3.
Appareils Vermorel pulvérisateurs :
2 qui sont utilisés pour la dispersion
des gaz.
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