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peut dire que vous êtes un homme d’écriture :
vous avez exploré bien des formes d’écriture
(romanesque, journalistique, scénaristique, mais
aussi comme auteur de théâtre et metteur en scène,
enfin, comme auteur de sketches et de chansons).
Même si l’on n’écrit pas un scénario comme on
écrit des paroles de chanson, on peut dire que le fil
conducteur de toute votre œuvre, mais aussi de votre
vie, c’est la passion de l’écriture, n’est-ce pas ?
La passion de l’écriture m’a été transmise par mes
parents, qui étaient de grands lecteurs. Mon père
écrivait des textes et des chansons pour la radio.
Mes parents ont mis de l’encre dans mon biberon !
Très tôt, ils se sont mis en tête de m’apprendre à lire
et à écrire. Puis ils m’ont mis à l’école à Grenoble.
J’étais malheureusement fils unique, mais j’avais un
cousin, Claude Dabadie (qu’on appelait Claudy), que
j’adorais. Comme il avait deux ans et demi de plus
que moi et qu’il allait à l’école, ma grand-mère a
décidé que j’irais aussi à l’école pour ne pas rester
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vous avez exploré bien des formes d’écriture
(romanesque, journalistique, scénaristique, mais
aussi comme auteur de théâtre et metteur en scène,
enfin, comme auteur de sketches et de chansons).
Même si l’on n’écrit pas un scénario comme on
écrit des paroles de chanson, on peut dire que le fil
conducteur de toute votre œuvre, mais aussi de votre
vie, c’est la passion de l’écriture, n’est-ce pas ?
La passion de l’écriture m’a été transmise par mes
parents, qui étaient de grands lecteurs. Mon père
écrivait des textes et des chansons pour la radio.
Mes parents ont mis de l’encre dans mon biberon !
Très tôt, ils se sont mis en tête de m’apprendre à lire
et à écrire. Puis ils m’ont mis à l’école à Grenoble.
J’étais malheureusement fils unique, mais j’avais un
cousin, Claude Dabadie (qu’on appelait Claudy), que
j’adorais. Comme il avait deux ans et demi de plus
que moi et qu’il allait à l’école, ma grand-mère a
décidé que j’irais aussi à l’école pour ne pas rester
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