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M ais c’est adorable, vraiment. Dans l’immédiat, là tout de suite
pas vraiment, mais on peut y réfléchir, qu’en pensez-vous ?
— O ui avec grand plaisir, j’aimerais tellement pouvoir m’investir
derrière Madame De La Berthelière.
— A lors, alors, alors, qu’est-ce que vous aimeriez faire, vous
avez des compétences particulières ?
— B en j’aime bien l’informatique, la comptabilité, les bases de
données, les listings, les trucs comme ça.
— A h tous les trucs ennuyeux ! Mais c’est génial ça ! Il fallait
nous le dire tout de suite, nous on n’y comprend rien à tout ça.
Les trois jeunes femmes se mirent à rire comme si c’était la blague
de l’année.
Béatrice savait très bien qu’elle devait prendre ce genre de res-
ponsabilités. Impossible de questionner Bertille à ce sujet. Il y
a encore 5 jours, toutes ces parties étaient gérées en direct par la
candidate. Mais aujourd’hui, la duchesse avait 13 ans et se foutait
de tout ça éperdument. Pourtant les frais continuaient de s’accu-
muler. Ni elle, ni Émelyne n’avait une once de connaissance dans
ces domaines-là.
— V ous avez un peu de temps pour parler de tout ça, ma chère
Rokia ?
— O ui, vous savez je suis indépendante, je travaille de chez moi
donc je m’organise un peu comme je veux.
— P arfait parfait parfait, c’est très bien, vraiment très bien, glissa
Émelyne histoire d’en placer une.
Puis Béatrice reprit la main.
— D onc les comptes bancaires, les entrées et les sorties d’argent,
ça vous parle ?
— E t bien plus que cela, c’est même une partie de mon activité.
— O k ok ok…. Bien bien bien… Vous pouvez repasser demain
pour voir comment nous pouvons avancer ensemble ?
— S uper, avec plaisir ! Et bien je vous dis à demain, passez une
belle journée!
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pas vraiment, mais on peut y réfléchir, qu’en pensez-vous ?
— O ui avec grand plaisir, j’aimerais tellement pouvoir m’investir
derrière Madame De La Berthelière.
— A lors, alors, alors, qu’est-ce que vous aimeriez faire, vous
avez des compétences particulières ?
— B en j’aime bien l’informatique, la comptabilité, les bases de
données, les listings, les trucs comme ça.
— A h tous les trucs ennuyeux ! Mais c’est génial ça ! Il fallait
nous le dire tout de suite, nous on n’y comprend rien à tout ça.
Les trois jeunes femmes se mirent à rire comme si c’était la blague
de l’année.
Béatrice savait très bien qu’elle devait prendre ce genre de res-
ponsabilités. Impossible de questionner Bertille à ce sujet. Il y
a encore 5 jours, toutes ces parties étaient gérées en direct par la
candidate. Mais aujourd’hui, la duchesse avait 13 ans et se foutait
de tout ça éperdument. Pourtant les frais continuaient de s’accu-
muler. Ni elle, ni Émelyne n’avait une once de connaissance dans
ces domaines-là.
— V ous avez un peu de temps pour parler de tout ça, ma chère
Rokia ?
— O ui, vous savez je suis indépendante, je travaille de chez moi
donc je m’organise un peu comme je veux.
— P arfait parfait parfait, c’est très bien, vraiment très bien, glissa
Émelyne histoire d’en placer une.
Puis Béatrice reprit la main.
— D onc les comptes bancaires, les entrées et les sorties d’argent,
ça vous parle ?
— E t bien plus que cela, c’est même une partie de mon activité.
— O k ok ok…. Bien bien bien… Vous pouvez repasser demain
pour voir comment nous pouvons avancer ensemble ?
— S uper, avec plaisir ! Et bien je vous dis à demain, passez une
belle journée!
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