Page 67 - Cloches
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ETAINHUS
L’EGLISE SAINT-JACQUES
Le nom du village
C’est au XIIe siècle qu’est apparu le nom qui serait une contraction
de « Steinn », racine viking qui signifie pierre et de « Hus », racine
anglo-saxonne qui signifie maison.
L’histoire de l’église
La Révolution et le manque d’argent de la
commune ont presque fait oublier cette église
qui a été appelée chapelle en 1832. Mais en
1833, on commence la construction d’un
presbytère…
En 1869, s'effectue la construction de la tourelle
d'escalier par les architectes Martin et Marical.
La visite au clocher
Comme chaque fois, l’escalier à vis est étroit.
Nous arrivons à un étage où une échelle avec
rampe nous attend pour accéder à la chambre
de la cloche. Mais où est cet oculus qui recouvre
habituellement le passage de la cloche. Pas de passage visible. La voûte a
été refermée.
Pas d’éclairage non plus, à l’étage du beffroi. La cloche est dans la flèche,
pas de baies. La charpente a juste laissé un espace pour les abat-son,
comme à Graimbouville. Dans l’ombre, je vois la cloche, bien vieille, les
ans ont laissé leurs marques. La demi-roue qui l’entraîne et le marteau qui
sonne le glas sont en bon état. La cloche n’est pas électrifiée. Cela permet
aux parrains, les jours de baptême, de sonner eux-mêmes, en tirant la
corde, plaisir reconnu.
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L’EGLISE SAINT-JACQUES
Le nom du village
C’est au XIIe siècle qu’est apparu le nom qui serait une contraction
de « Steinn », racine viking qui signifie pierre et de « Hus », racine
anglo-saxonne qui signifie maison.
L’histoire de l’église
La Révolution et le manque d’argent de la
commune ont presque fait oublier cette église
qui a été appelée chapelle en 1832. Mais en
1833, on commence la construction d’un
presbytère…
En 1869, s'effectue la construction de la tourelle
d'escalier par les architectes Martin et Marical.
La visite au clocher
Comme chaque fois, l’escalier à vis est étroit.
Nous arrivons à un étage où une échelle avec
rampe nous attend pour accéder à la chambre
de la cloche. Mais où est cet oculus qui recouvre
habituellement le passage de la cloche. Pas de passage visible. La voûte a
été refermée.
Pas d’éclairage non plus, à l’étage du beffroi. La cloche est dans la flèche,
pas de baies. La charpente a juste laissé un espace pour les abat-son,
comme à Graimbouville. Dans l’ombre, je vois la cloche, bien vieille, les
ans ont laissé leurs marques. La demi-roue qui l’entraîne et le marteau qui
sonne le glas sont en bon état. La cloche n’est pas électrifiée. Cela permet
aux parrains, les jours de baptême, de sonner eux-mêmes, en tirant la
corde, plaisir reconnu.
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