Page 70 - Cloches
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GOMMERVILLE
L’EGLISE SAINT-MARTIN
Le nom du village
Gommerville était le fief de Gautmarus.
L’histoire de l’église
Ce que disent les archives : Le clocher de l’église
de Gommerville s’effondra en 1729 et
endommagea considérablement la nef. En raison
d’une contestation entre les sieurs propriétaires
et gros décimateurs de la paroisse, les travaux
ne furent point entrepris dans l’instant et la nef
de l’église s’écroula entièrement.
La reconstruction de la nef s'achève en 1740.
Dans l'intervalle, les paroissiens vont à la messe
dans la chapelle du château de Filières.
La visite au clocher
La tour-clocher se trouve à la croisée du transept. Il faut déplacer
quelques chaises pour atteindre la petite porte, et s’éclairer pour monter
l’étroit escalier en colimaçon. Le premier étage comporte comme
mobilier, un grand disque de bois qui protège l’ouverture par où sont
passées les cloches (l’oculus) et une échelle pour accéder à l’étage
supérieur qui les abrite.
Le moment n’est pas au vertige mais à l’émotion. Les deux cloches ont été
fondues par mes aïeux. La première cloche est signée « Les Maire et
Cartenet » alors fondeurs itinérants et la deuxième « Cartenet frères »,
fixés à Gueutteville-les-Grés.
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L’EGLISE SAINT-MARTIN
Le nom du village
Gommerville était le fief de Gautmarus.
L’histoire de l’église
Ce que disent les archives : Le clocher de l’église
de Gommerville s’effondra en 1729 et
endommagea considérablement la nef. En raison
d’une contestation entre les sieurs propriétaires
et gros décimateurs de la paroisse, les travaux
ne furent point entrepris dans l’instant et la nef
de l’église s’écroula entièrement.
La reconstruction de la nef s'achève en 1740.
Dans l'intervalle, les paroissiens vont à la messe
dans la chapelle du château de Filières.
La visite au clocher
La tour-clocher se trouve à la croisée du transept. Il faut déplacer
quelques chaises pour atteindre la petite porte, et s’éclairer pour monter
l’étroit escalier en colimaçon. Le premier étage comporte comme
mobilier, un grand disque de bois qui protège l’ouverture par où sont
passées les cloches (l’oculus) et une échelle pour accéder à l’étage
supérieur qui les abrite.
Le moment n’est pas au vertige mais à l’émotion. Les deux cloches ont été
fondues par mes aïeux. La première cloche est signée « Les Maire et
Cartenet » alors fondeurs itinérants et la deuxième « Cartenet frères »,
fixés à Gueutteville-les-Grés.
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