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rès vite, on s’aperçoit que l’école A côté de l’école permanente, l’école
d’agriculture souffre de cette situation d’hiver essaie de trouver sa place. Pour y être
compliquée. Dès 1922, le contrôleur admis, il faut être âgé de 15 ans au minimum,
départemental des services administratifs avoir quelques connaissances agricoles et
EQPUVCVG SWG NG TGETWVGOGPV GUV KPUWHƂUCPV passé un examen d’admission. Les études
A la demande du Conseil Général, les s’étalent sur deux hivers de quatre mois. Les
établissements seront séparés. Comme l’écrit premiers cours ont lieu à partir de janvier
L’Abeille Cauchoise du 6 octobre 1923, tout 1921, sept élèves âgés de 15 à 22 ans sont
contact entre des enfants si dissemblables, présents.
« déplorable d’ailleurs » est supprimé.
Les buts assignés à l’établissement sont
ENCKTGOGPV FÅƂPKU +N UoCIKV FoQHHTKT CWZ
élèves une éducation et une instruction
complètes, des connaissances techniques et
professionnelles, devant leur permettre de
diriger une exploitation agricole.
L’enseignement spécial est assuré par un
professeur d’agriculture. L’enseignement
général, qui correspond à l’enseignement
primaire supérieur, est dispensé par un
instituteur ou par un professeur du cours
complémentaire d’Yvetot. Un adjudant de
gendarmerie en retraite occupe les fonctions
de surveillant, et en 1930 l’éducation physique
sera assurée par un ancien adjudant.
Les effectifs sont faibles, on lance donc
une campagne de publicité pour améliorer
le recrutement. Comme d’habitude, on
s’adresse à la presse locale, aux maires,
aux instituteurs pour mieux faire connaitre
l’établissement. Une brochure de 1923
vante les deux salles d’études spacieuses, le
laboratoire et ses nombreuses collections, la
bibliothèque, la salle d’éducation physique,
NGFQTVQKTFGNKVUNGTÅHGEVQKTGNoKPƂTOGTKG
NCUCNNGFGFQWEJGU4KGPPGOCPSWG
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d’agriculture souffre de cette situation d’hiver essaie de trouver sa place. Pour y être
compliquée. Dès 1922, le contrôleur admis, il faut être âgé de 15 ans au minimum,
départemental des services administratifs avoir quelques connaissances agricoles et
EQPUVCVG SWG NG TGETWVGOGPV GUV KPUWHƂUCPV passé un examen d’admission. Les études
A la demande du Conseil Général, les s’étalent sur deux hivers de quatre mois. Les
établissements seront séparés. Comme l’écrit premiers cours ont lieu à partir de janvier
L’Abeille Cauchoise du 6 octobre 1923, tout 1921, sept élèves âgés de 15 à 22 ans sont
contact entre des enfants si dissemblables, présents.
« déplorable d’ailleurs » est supprimé.
Les buts assignés à l’établissement sont
ENCKTGOGPV FÅƂPKU +N UoCIKV FoQHHTKT CWZ
élèves une éducation et une instruction
complètes, des connaissances techniques et
professionnelles, devant leur permettre de
diriger une exploitation agricole.
L’enseignement spécial est assuré par un
professeur d’agriculture. L’enseignement
général, qui correspond à l’enseignement
primaire supérieur, est dispensé par un
instituteur ou par un professeur du cours
complémentaire d’Yvetot. Un adjudant de
gendarmerie en retraite occupe les fonctions
de surveillant, et en 1930 l’éducation physique
sera assurée par un ancien adjudant.
Les effectifs sont faibles, on lance donc
une campagne de publicité pour améliorer
le recrutement. Comme d’habitude, on
s’adresse à la presse locale, aux maires,
aux instituteurs pour mieux faire connaitre
l’établissement. Une brochure de 1923
vante les deux salles d’études spacieuses, le
laboratoire et ses nombreuses collections, la
bibliothèque, la salle d’éducation physique,
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