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témoignages d’artistes en résidence au lycée agricole
L’écrivain Hapels (Philippe Ripoll), maître d’œuvre du L’exemple le plus notoire étant notre intervention dans La
Cité de Refuge, grand vaisseau de l’Armée du Salut à Paris,
TQ^ZMKI\ITWO]M®,-8)A;-5-6<;¯X]JTQKI\QWVuLQ\uM conçu par Le Corbusier. Cette proposition correspondait
pour cette occasion, écrivait en préambule : donc pleinement, idéalement à notre état d’esprit.
« L’idée de ces résidences est saugrenue… », « Saugrenue ! », La répartition des lieux s’est ainsi organisée : Jacques
Il est à espérer, que dans tous les établissements scolaires, il Asserin au Neubourg, Thierry Heynen à Fauville-en-
puisse aussi s’y vivre des expériences de cette ambition. Caux, Guy Lemonnier à Brémontier-Merval, Alain Silly
à Envermeu, et moi, Guy Chaplain, à Yvetot. Nos deux
L’idée de ces résidences a été conçue et mise en place par artistes invités : Françoise Pacé à Chambray, Jakob Gautel
Dominique Hurier, enseignante d’éducation socioculturelle à Neufchâtel-en-Bray.
au Lycée Agricole du Neubourg (qui n’imaginait pas autant
de réponses positives). Sept établissements d’enseignement L’enjeu, le challenge nous motivait donc pleinement,
agricole de Haute-Normandie étaient donc prêts à accueillir bien que nous ayons quelques doutes sur la réception,
sept artistes en résidence sur une durée de six mois environ. l’acceptation de nos divers projets.
Pour ART SEINE TRI.D, association de sculpteurs, ,M NIQ\ TM ^uK] LM KPIY]M IZ\Q[\M I u\u LQٺuZMV\ L¼]V
c’était inespéré. établissement à l’autre, de par les spécialités d’enseignements,
les personnalités, les caractères, les exigences techniques
Le « dogme » principal d’ART SEINE TRI.D propres aux démarches, aux lieux d’exposition disponibles…
était d’intervenir a priori, hors des lieux habituels de
démonstrations de l’art contemporain. Dans un premier temps, chaque artiste fut accueilli et
épaulé par les professeur(e)s d’éducation socioculturelle en
4MUI{\ZMUW\"NIQZM¶]^ZM®16;1<=¯ contacts fréquents auprès des élèves.
Déjà, notre aventure commune nous avait entraînés dans
des contextes architecturaux ou environnementaux singuliers, Qu’ils soient, qu’elles soient, une fois de plus
chaleureusement remercié(e)s.
M\LIV[LM[KWV\M`\M[[WKQI]`\Zv[LQٺuZMV\[°
Leur rôle est essentiel. S’ils
furent, si elles furent pour nous les
interfaces nécessaires avec les élèves
et d’autres personnels, nous avons
pu constater, dans le cadre de cette
« discipline » l’ouverture d’esprit des
élèves dans des domaines, bien au-
LMToLMTM]Z[NWZUI\QWV[[XuKQÅY]M[
Je pense ici à la pratique de la
photo, de la vidéo entre autre.
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L’écrivain Hapels (Philippe Ripoll), maître d’œuvre du L’exemple le plus notoire étant notre intervention dans La
Cité de Refuge, grand vaisseau de l’Armée du Salut à Paris,
TQ^ZMKI\ITWO]M®,-8)A;-5-6<;¯X]JTQKI\QWVuLQ\uM conçu par Le Corbusier. Cette proposition correspondait
pour cette occasion, écrivait en préambule : donc pleinement, idéalement à notre état d’esprit.
« L’idée de ces résidences est saugrenue… », « Saugrenue ! », La répartition des lieux s’est ainsi organisée : Jacques
Il est à espérer, que dans tous les établissements scolaires, il Asserin au Neubourg, Thierry Heynen à Fauville-en-
puisse aussi s’y vivre des expériences de cette ambition. Caux, Guy Lemonnier à Brémontier-Merval, Alain Silly
à Envermeu, et moi, Guy Chaplain, à Yvetot. Nos deux
L’idée de ces résidences a été conçue et mise en place par artistes invités : Françoise Pacé à Chambray, Jakob Gautel
Dominique Hurier, enseignante d’éducation socioculturelle à Neufchâtel-en-Bray.
au Lycée Agricole du Neubourg (qui n’imaginait pas autant
de réponses positives). Sept établissements d’enseignement L’enjeu, le challenge nous motivait donc pleinement,
agricole de Haute-Normandie étaient donc prêts à accueillir bien que nous ayons quelques doutes sur la réception,
sept artistes en résidence sur une durée de six mois environ. l’acceptation de nos divers projets.
Pour ART SEINE TRI.D, association de sculpteurs, ,M NIQ\ TM ^uK] LM KPIY]M IZ\Q[\M I u\u LQٺuZMV\ L¼]V
c’était inespéré. établissement à l’autre, de par les spécialités d’enseignements,
les personnalités, les caractères, les exigences techniques
Le « dogme » principal d’ART SEINE TRI.D propres aux démarches, aux lieux d’exposition disponibles…
était d’intervenir a priori, hors des lieux habituels de
démonstrations de l’art contemporain. Dans un premier temps, chaque artiste fut accueilli et
épaulé par les professeur(e)s d’éducation socioculturelle en
4MUI{\ZMUW\"NIQZM¶]^ZM®16;1<=¯ contacts fréquents auprès des élèves.
Déjà, notre aventure commune nous avait entraînés dans
des contextes architecturaux ou environnementaux singuliers, Qu’ils soient, qu’elles soient, une fois de plus
chaleureusement remercié(e)s.
M\LIV[LM[KWV\M`\M[[WKQI]`\Zv[LQٺuZMV\[°
Leur rôle est essentiel. S’ils
furent, si elles furent pour nous les
interfaces nécessaires avec les élèves
et d’autres personnels, nous avons
pu constater, dans le cadre de cette
« discipline » l’ouverture d’esprit des
élèves dans des domaines, bien au-
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Je pense ici à la pratique de la
photo, de la vidéo entre autre.
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